Un pas en avant trois pas en arrière… une petite rengaine que vous connaissez bien. Trop bien. Votre Ex se laisse approcher, s’ouvre et peut se refermer tout aussi vite. Sans raison apparente. Sans que vous n’ayez mis sur ses épaules la moindre pression. Rien de plus agaçant que quelqu’un qui joue avec vos nerfs. Et pourtant, voilà un phénomène des plus explicables. Des plus compréhensibles. Voyageons dans la psychologie de votre Ex. Vous allez comprendre.

Un pas en avant trois pas en arrière: quand le pacte pèse sur l’interaction

Vous savez que votre Ex est dans un pacteQue sa décision de rompre doit être affirmée. Dans l’échange avec vous, aux yeux du  monde, partout où c’est possible. Pour autant, cette logique ne déshumanise pas vote Ex. Comme vous, comme moi, comme n’importe qui il/elle a un coeur. Un cerveau. Il/elle réagit et s’adapte face à la réalité des situations qui lui sont proposées.

Votre Ex est un être de construction. Influencé(e) par tout ce qu’il/elle rencontre. Bilan? Il/elle fait face à des obstacles très importants qui s’activent au moment de venir vers vous. On peut avoir envie… et ensuite se dire que c’est une idée un peu trop chargée de sens. Comme une promesse qu’on ne va pas pouvoir tenir.

C’est un peu l’image de la personne qui va faire un saut en parachute. Plus le moment approche, plus la peur monte. Et le moment décisif, c’est celui où la porte de l’avion s’ouvre. Voir quelqu’un se rassoir et se dire « je sauterai la prochaine fois », ça n’a rien de rare. D’ailleurs, pour ne rien vous cacher, cet effet un pas en avant trois en arrière, je le constate de manière quotidienne.

J’ai même vu un Ex fixer jusqu’à 5 rendez-vous et se trouver des excuses à chaque fois, à quelques heures de leur réalisation.

Un pas en avant trois pas en arrière: vous devez rester léger(e)

Oui, votre Ex a peur. Un pas en avant trois pas en arrière, c’est frustrant, mais c’est très, très commun. La situation est injuste, c’est une certitude. Votre Ex, pour X ou Y raison a ressenti une pression. Et notre rôle, c’est de faire diminuer cette dernière.

Comment? En dédramatisant. Grâce à une communication spontanée et vrai sens de la répartie. C’est la base du système C.R:I:S:E dont le but est justement de vous aider à gérer ce genre de situation.

Une fois qu’on comprend pourquoi l’autre réagit comme il le fait, on saisit comment s’adapter. Aussi bien au niveau du comportement, que de ce qu’on lui proposera à l’avenir. Mais ça, c’est autre chose (que vous pouvez découvrir au milieu de l’article, en cliquant sur la photo).